3 Mai 2021
Peu de gens savent qu'il existe dans le Tarn plusieurs églises orthodoxes. L'une d'entre-elles a très gentiment accepté de nous ouvrir ses portes, de nous faire visiter les lieux chargés d'histoire et de symboles, et de nous expliquer de façon simple, les rudiments de cette religion méconnue.
Les Pères Jacques-Marie et Nahuel ainsi que Susana, Christophe, Fabienne et Yannick, nous y attendent, leurs témoignages sont vivants et passionnants, alors, on y va ?
Pour mieux comprendre, voici la vidéo de ces rencontres exceptionnelles:
Dans ma quête spirituelle, je me suis toujours posé beaucoup de questions sur les différentes religions. Qu'est ce qui nous différencie ? Qu'est ce qui nous relie ? Pourquoi historiquement en sommes-nous arrivés là ?
Même si pour moi et je le pense profondément, nous sommes tous frères et sœurs et tous égaux, quelle que soit la religion que l'on pratique, j'ai besoin de comprendre, d'analyser et surtout de savoir.
Savoir, c'est pour moi connaitre l'autre, pour mieux le comprendre. C'est fuir l'obscurantisme, fuir les "on dit que", "il parait que". Il me faut avant tout me forger ma propre opinion. Sans juger, je ne juge pas et n'aime pas juger afin de ne pas être jugé. J'ai juste un besoin de mieux connaitre afin de mieux aimer l'autre, mon prochain.
C'est sur un hebdomadaire local que j'ai lu que l'Eglise Orthodoxe de France était en train de faire peindre de grandes fresques dans son église et qu'elle allait célébrer les offices des Rameaux. L'occasion rêvée pour moi de découvrir ce lieu et si je le peux, cette religion.
Dans l'article, un contact e-mail.
Parfait, j'écris dans l'espoir de recevoir une réponse positive. C'est le recteur qui me répond directement, de façon extrêmement gentille. Il m'invite à le contacter par téléphone afin que nous discutions ensemble de vive voix, de mon désir de réaliser un reportage.
Aussitôt dit, aussitôt fait !
Après plusieurs échanges par e-mail et par téléphone, nous programmons de nous rendre sur place un premier dimanche où nous pouvons ainsi découvrir les lieux et surtout rencontrer les prêtres et la communauté avant de revenir à Saint Marcel Campes à l'occasion des Rameaux pour notre documentaire.
Saint-Marcel Campes est une petite commune située entre Cordes sur Ciel et Salles-sur-Cérou.
L'église est au hameau de Saint Marcel exactement, sur les hauteurs de la vallée du Cérou, qu'elle domine. De là, la vue sur la cité médiévale de Cordes d'un côté et de Salles de l'autre est splendide !
En tant qu'amateur d'histoire et de sites historiques, je connaissais Saint Marcel de nom car il est très lié à la naissance de Cordes sur Ciel, où j'ai débuté dans le tourisme.
C'est à cause de la destruction complète de Saint Marcel par Simon de Montfort durant la Croisade contre les Cathares, au début du 13ème siècle, que le Comte de Toulouse décidera de construire, de bastir, la cité de Cordes en 1222.
Tiens d'ailleurs, je propose à celles et ceux qui ne l'ont pas encore fait, de découvrir mon reportage sur Cordes, ses mystères et ses légendes, mon tout premier reportage pour mon blog, que je vous glisse tout en bas de page 😉
C'est dans la chapelle du monastère que nous avons découvert pour la première fois le culte orthodoxe.
Il y avait ce jour-là, le prêtre, un diacre et un sous-diacre.
Ma première impression était que la liturgie était belle et ce qui m'a surpris, c'est qu'elle était entièrement chantée, même les "lectures", épitres et évangile.
Plus d'une dizaine de fidèles suivait l'office et chantait avec le chœur composé d'un prêtre et de deux choristes, une femme et un homme. Tous les chants étaient en français.
D'emblée, je me suis senti bien.
Pour le dimanche des Rameaux, l'office avait lieu dans l'église juste au-dessus de la chapelle.
L'église, tout comme la paroisse est dédicacée à Saint Marcel et Saint Séraphim de Sarov.
Là, c'est presque une trentaine de personne qui avait fait le déplacement, des branches de laurier à la main, comme il est de tradition pour tous les chrétiens lors des offices des Rameaux.
Pareillement, la messe est entièrement chantée. Le rituel très codifié est très vivant et les prêtres et les diacres sont en perpétuels mouvements.
On ne s'y ennuie pas !!
Les clercs font le tour de l'assemblée avec un encensoir muni de clochettes, coupent le pain pour l'Eucharistie. Toute l'assemblée sort de la chapelle durant l'office et les chants, très beaux, sont entonnés de part et d'autre de la porte. Le prêtre frappe la porte avec sa croix orthodoxe dorée...
Cette croix, la croix orthodoxe, est très jolie d'ailleurs, elle arbore une barre horizontale au-dessus des bras de la croix pour figurer la pancarte qui avait été fixée au moment de la crucifixion du Christ, le Titulus Crucis. Ce panonceau voulu selon les écrits par Ponce Pilate, portait gravé dessus la mention INRI, comme on peut le lire sur beaucoup de crucifix. Cet acronyme vient de "Iesvs Nazarenvs, Rex Ivdæorvm" que l'on pourrait traduire par "Jésus le Nazaréen, Roi des Juifs". Au bas de la croix, une autre petite branche en biais.
J'aime beaucoup cet office très gai et très vivant.
A l'issue de la messe, il est temps d'ouvrir le dialogue avec les Pères Jacques-Marie et Nahuel.
Ma première question, celle qui comme pour beaucoup me brûle les lèvres, est de demander quelles sont les différences entre l'Eglise Orthodoxe et l'Eglise Catholique, séparées après le grand schisme de 1054, même si elles le furent de fait bien plus tard selon certains historiens.
Première réponse, pleine de vérité de la part des Pères: il y a plus de similitudes que de choses qui les éloignent dans l'absolu.
Pour exemple, un des symboles très forts, toutes ces Eglises chrétiennes, sont Catholiques !!
En effet elles ont en commun le Credo, le Symbole des apôtres, Symbole de Nicée-Constantinople; le "Je crois en Dieu", écrit en 325 à Nicée et complété à Constantinople en 381..
Dans cette prière commune, tous récitent: "(...)Je crois, en l'Eglise, une, sainte, catholique et apostolique (...)". C'est pour montrer cette unicité que l'Eglise Orthodoxe de France a décidé de s'appeler désormais l'Eglise Catholique Orthodoxe de France.
Là aussi, c'est une Eglise métropolitaine ou plutôt nationale pour ne pas dire nationaliste afin de ne pas y prêter des intentions politiques et idéologiques qu'elle est loin d'avoir.
Pour essayer d'expliquer simplement, c'est l'Eglise Orthodoxe DE France et non EN France.
Comme durant tout le premier millénaire, les premières églises chrétiennes étaient nationales et avaient un évêque, parfois appelé patriarche ou primat, qui la rassemblait et l'unifiait.
L'apôtre Pierre qui fonda l'Eglise de Jérusalem, laissera son siège à l'apôtre Jacques, avant de devenir l'évêque de l'Eglise d'Antioche puis de celle de Rome.
Plusieurs apôtres formèrent ci et là parmi les nations des églises réunies autour d'évêchés patriarcaux ou primaux quasi autonomes qui s'adaptaient à la culture des provinces et du Pays. En France, même si dans l'Histoire il n'était pas le seul évêque Primat, c'est l'évêque de Lyon qui est porte toujours le titre de Primat des Gaules.
Comme l'a écrit l'apôtre Paul dans sa lettre aux Corinthiens 9:20 "Avec les Juifs, j'ai été comme Juif, afin de gagner les Juifs (...)".
Ainsi, en France tous les 72 évêchés créés durant les 5 premiers siècles et ceux d'après, avaient pour beaucoup leurs propres rites, leurs us et coutumes adaptés aux communautés locales dont ils avaient la charge. Plus tard, plusieurs conciles, tenteront d'unifier les rites, les prières, les langues, etc. selon l'impulsion principale des évêques de Rome, les différents Papes.
Le concile de Nicée en 325, fresque de l’église Saint-Nicolas de Myre (Demre, Turquie). XIe-XIIe siècle
C'est en 1936 que tel un phœnix sortant de ses cendres, l'Eglise Orthodoxe de France reprit son envol officiellement avec la bénédiction de l'Eglise Orthodoxe Russe.
Quelques années auparavant, Louis-Charles Winnaert un prêtre catholique, s'efforçait de tenter de retrouver l'authenticité de l'Eglise chrétienne des premiers siècles. Sa route croisera en 1934, Eugraph Kovalesky, arrivé en France en 1920 après la Révolution Russe. Ce dernier, russe orthodoxe rechercha les vestiges de l'Eglise Orthodoxe de France et fonda en 1925 la Confrérie de Saint-Photius afin de restaurer l'Eglise des Gaules et sa liturgie. Liturgie, que des recherches des 17ème, 18ème et 19ème siècle avaient déjà permis une reconstitution "archéologique".
Ce qui prime pour eux c'est d'adapter le tout aux contextes et conditions contemporaines du pays. De fait, en tant qu'Eglise DE France tous les chants et les offices se font en français et non dans une langue et liturgie étrangère comme peuvent le faire les autres Eglises Orthodoxes comme pour exemple, les Russe, Grecque, Roumaine ou autre Eglises Orthodoxes EN France.
Progressivement, Eugraph Kovalesky, devenu entre temps évêque sous le nom de Mgr Jean, et son frère Maxime travaillèrent à la restauration et à l'adaptation des chants en français et permirent ainsi de parfaire le rite français.
De nos jours, l'Eglise Orthodoxe de France est découpée en 3 diocèses:
et de 25 lieux de cultes en France, dont Saint Marcel dans le Tarn qui est la paroisse (et l'église) Saint Marcel et Saint Séraphim de Sarov et le monastère de la Transfiguration, de Saint jean de Shangaï et de San Francisco.
Ce qui est remarquable dans cette église tarnaise, ce sont les nouvelles fresques.
Elles sont sublimes !!
Elles sont en cours de création grâce au talent et au savoir encyclopédique des deux fresquistes Susana et Père Nahuel. Ils sont tous deux originaires d'Argentine où ils ont longuement étudié et mis en pratique leur savoir. Susana, également iconographe y enseigne dans une Université.
Deux immenses parties sont déjà peintes. Une à l'Ouest, et le centre de la future grande fresque murale de l'Est, dans le chœur.
Friand de symbolisme, je leur demande de m'expliquer très simplement ce qu'ils ont représenté.
Commençons par la fresque qui se trouve à l'entrée.
Cela tombe bien, elle représente, la Génèse, la création du Monde et de l'Univers.
Bon je me répète, mais je la trouve superbe !
Vous ne trouvez pas ?
Dieu sous les traits du Christ jeune, est entouré de grands cercles dans lesquels figurent les créations selon les écrits bibliques.
Du premier jour où du chaos, Dieu créa la lumière, que la lumière soit, et la lumière fût, au 7ème où il se reposa, chaque dessin, chaque détail est un symbole et schématise à merveille le premier livre de l'Ancien Testament.
Ce qui est remarquable, c'est le fabuleux bestiaire tiré des évangéliaires médiévaux que Susana et le Père Nahuel ont peint pour figurer la création d'Adam, de l'humanité, le 6ème jour.
Le plus amusant est que parmi ces animaux fantastiques, il y a même des licornes ! (spécial dédicace 😉)
J'adore tant cela est bien réalisé !
Je vous laisse admirer les médaillons pour chacun des 6 autres jours...
La Génèse de la fresque de l'église de Saint Marcel
Autour de la tête de Dieu, les deux lettres grecques classiques : Alpha et Oméga, qui reprennent la phrase extraite de l'Apocalypse selon Saint Jean: "Je suis l'Alpha et l'Oméga", ce qui peut dire, le début et la fin puisque ce sont la première et la dernière lettre de l'alphabet grec.
Tout autour du Créateur, splendide avec son regard très doux, si on s'approche et que l'on scrute bien toute la peinture, on aperçoit dissimulé çà et là des étoiles...
Regardez :
Passons à la fresque d'en face.
Qu'elle est belle !!
Un immense Christ en gloire, que l'on appelle "pantocrator" dans l'art byzantin, trône au centre de la future composition.
C'est une figuration de la fin des temps, du Jugement Dernier.
Autour de lui viendront ceux que l'on appelle aussi les intercesseurs, la Vierge Marie et Jean le Baptiste qui intercèderont pour sauver le plus de monde. Ils n'ont pas encore été peints.
J'adore les couleurs vives qui sont franches et qui tranchent.
Respectant le besoin de s'adapter au pays, les fresquistes ont "européanisé" le Christ.
Il n'est ni slave, ni grec. Susana et le Père Nahuel m'expliquent qu'ainsi ils s'imprègnent de l'art du pays et de son histoire et qu'en Argentine la même composition est complètement différente.
Regardez
Pour celles et ceux qui, comme moi, aiment le symbolisme dans la fresque, je vous invite à regarder le documentaire vidéo complet où Susana et Nahuel nous détaillent et nous expliquent chaque fresque.
C'est passionnant !
Il est temps que je questionne le Père Jacques-Marie, recteur de cette paroisse. La vocation de chacun et leur cheminement m'intéressent.
Comme dans beaucoup de cas, il a ressenti la vocation enfant.
Né et éduqué dans l'Eglise Catholique Romaine, il a cependant eu du mal avec le côté "janséniste" de certains prêtres à qui il a eu affaire. Ce côté moralisateur permanent et l'enseignement d'un Dieu qui juge, qui condamne et qui punit.
De plus, il faut pour être prêtre, faire le Grand Séminaire qui dure 7 ans en moyenne. Beaucoup trop long pour quelqu'un qui n'est pas versé vers les études.
Menant sa quête spirituelle tout au long de sa vie, Jacques-Marie, va se marier, avoir 5 enfants et une belle carrière professionnelle.
C'est très tardivement, durant un séjour en Lorraine, dans le Village de Gorze, au Centre de rencontres spirituelles de Béthanie, au milieu de la lumière qui baigne la chapelle, des volutes d'encens qui y flotte, des chants magnifiques, des processions... que Jacques-Marie a la révélation. Il vient de ressentir dans tout son être CE qu'il cherche depuis des années.
Rentré sur Rennes où il réside alors, il se rapproche de la communauté orthodoxe qu'il intègre. Le besoin poussera le prêtre orthodoxe de sa paroisse à lui demander d'accepter d'être consacré sous-diacre, puis diacre et enfin par manque de pasteur, prêtre.
C'est donc à plus de 60 ans, marié et père de famille que son rêve de petit garçon de servir Dieu se concrétisera. Epanoui et heureux, il est donc en charge de la communauté de cette paroisse dans Tarn.
Avec le Père Jacques-Marie, recteur de la paroisse orthodoxe de Saint Marcel et Saint Séraphim dans le Tarn
C'est autour d'une grande table que nous poursuivons notre discussion. Fabienne, me raconte son parcours à elle en tant que fidèle. Née dans la religion orthodoxe arménienne, dont elle fréquente l'Eglise à Paris où elle était. Venue vivre à Albi, c'est avec beaucoup de plaisir qu'elle et son mari "trouveront" (presque) par hasard l'Eglise Orthodoxe à Saint Marcel, où le destin les pousse à acheter une maison contre l'église. Depuis, son époux, Yannick pour qui cette belle aventure n'est pas dû au hasard, est même devenu sous-diacre et participe très activement aux cérémonies.
Christophe, le montpellierain, a également un beau cheminement spirituel. Très actif lui aussi au sein de l'Eglise Orthodoxe de France, il est un étudiant passionné et passionnant. Il se forme à l'Institut de Théologie Orthodoxe Saint Denys. Basé à Paris, cette grande école ouverte à tous propose de nombreux cycles de formations très divers, in situ ou à distance, mais aussi des universités d'été, des stages de chants...
Pour lui, ce sont ses parents qui se sont tournés vers l'Orthodoxie alors qu'il était enfant tout en lui laissant le choix de les suivre plus tard. C'est il y a à peine un an, qu'il a eu comme il le dit "l'illumination" qui l'a poussé à entrer à son tour dans l'Eglise Orthodoxe de Montpellier où il réside. Il s'est même mis à chanter (avec un beau timbre de voix) dans les chœurs orthodoxes.
C'est une très belle journée que Justin et moi avons vécu à Saint Marcel dans cette découverte de l'Eglise Orthodoxe.
J'ai été beaucoup touché par cette douce chaleur et cette sympathie, simple, sincère avec lesquelles nous avons été accueillis par toute la communauté. Au cours des deux journées, et durant les offices que nous avons partagés, j'ai souvent pensé à l'Eglise des premiers temps, celle des premiers chrétiens. Je me suis dit, qu'à Antioche, en Thessalonique, à Jérusalem et même à Rome, les chrétiens, connus pour leur entraide et leur amour mutuel, "Voyez comme ils s'aiment"1 et tous ceux qui découvraient le culte qui y était fait; devaient ressentir eux aussi ce que j'ai pu percevoir au milieu de cette communauté orthodoxe.
J'ai beaucoup aimé leur bienveillance et à chaque fois, c'est heureux et apaisé que je suis rentré chez moi.
Justement le culte et plus précisément la liturgie, même si elle me semble compliquée car je suis complètement néophyte, me semble pleine de sens et belle. Comme je l'ai déjà dit, la liturgie est très vivante et j'adore les chants que j'y ai entendu ou que j'ai pu écouter chez moi grâce aux CD que l'on m'a fait passer pour illustrer musicalement ma vidéo. J'ai mis un de mes préférés au générique du début de ma vidéo.
C'est enrichi et heureux de ces belles rencontres que je tiens à tous vous remercier. Merci aux Pères Jacques-Marie et Nahuel. Merci à Susana, à Fabienne, à Christophe à Yannick et à toutes celles et ceux qui nous ont ouvert leurs bras et leurs cœurs durant ces deux jours parmi vous. De nouvelles amitiés sont nées, nos routes même si elles sont parallèles se croiseront, j'y crois et je l'espère, après tout, ne formons-nous pas une seule et grande famille, celle des enfants de Dieu ?
Vidéo et photos (sauf mentions contraires) : Justin BONNET
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1 cf. Apologétique, n
Eglise Catholique Orthodoxe de France
Cathédrale : 96 bd A. Blanqui - 75013 Paris Archevêché : 26 rue Friant - 75014 Paris Tel : 01 45 42 44 12 Courriel: ndvilla@club-internet.fr
Accueil - Institut de Théologie Orthodoxe Saint-Denys
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